En décembre 2014, le laboratoire de Thomas Edison fut
pratiquement détruit par un incendie. Les dommages s’élevaient à plus de deux
millions de dollars, et la police d’assurance ne garantissait que 238.000
dollars, car les bâtiments étaient en béton, et par conséquent jugés ignifuges.
Une grande partie du travail d’Edison s’envola en fumée ce jour-là.
Au cœur de l’incendie, Charles, le fils d’Edison, âgé alors
de 24 ans, chercha sans relâche son père parmi les débris et la fumée Il le
trouva finalement, les cheveux au vent et le visage illuminé par les flammes,
observant paisiblement le feu dévorant l’héritage d’années de dur labeur.
Le lendemain matin, Edison regarda les décombres et
dit : « le désastre apporte une chose précieuse. Toutes nos erreurs
sont effacées. Je remercie Dieu de pouvoir recommencer à zéro ».
Trois semaines plus tard, Edison présenta le
phonographe : sa nouvelle invention. C’est de cette manière qu’Edison
devint le génie de son siècle, il abordait ses problèmes, toujours, avec
optimisme et un certain recul.
A la rédaction nous avons décidé de progresser, de faire
face aux défis à la méthode Edison, avec positivité et optimisme, afin de vous
présenter ce numéro en rose, rénovant et riche de son contenu.
Elaboré avec beaucoup d’amour, découvrez dans ce numéro,
l’actualité de Marrakech, plongez dans la mémoire de l’écrivain Juan Goytisolo,
rendez hommage à la femme forte et courageuse avec la biographie de Lalla Zahra
El Kouch nommée la colombe de Marrakech, découvrez le phénomène de
l’individualisme avec le dossier Psychologie et laissez-vous séduire par la
nouvelle collection de la styliste Rkia Ait Blal.
Bonne lecture !
Nizar El Mazouni
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